Hélène Frazik termine une thèse sur le fantastique dans le cinéma français de l’entre-deux-guerres sous la direction de Vincent Amiel (Paris I Panthéon-Sorbonne). Elle est actuellement ATER à l’Université de Caen-Normandie. Elle a rédigé deux mémoires, l’un consacré au fantastique dans Les Yeux sans visage (1960) et Judex (1963) de Georges Franju, l’autre sur le cinéma fantastique français muet. Dans le cadre de colloques et de journées d’études, elle communique régulièrement sur la question du fantastique, sur ses liens avec le comique et le grotesque, ainsi que sur des auteurs français tels que Jean Grémillon, René Clair, etc. Ses recherches et ses contributions portent aussi sur le jeu de l’acteur (Ivan Mosjoukine, les acteurs chez Jean-Pierre Mocky) et s’ouvrent aux formes du cinéma contemporain.