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26.02.24
Info parution : « Les cinéastes du Diable », par Yann Calvet
Si au cours du 19ème et du 20ème siècles, l’image terrorisante du diable, conservée dans le champ religieux et moral, a perdu de sa puissance dans l’imagination littéraire et dans les illusions de la fantasmagorie, le cinéma va produire de...
Lire la suite25.09.23
Éclipses N° 72 : Clint EASTWOOD, l'épreuve du temps
Consacré à Clint EASTWOOD, le volume 72 de la revue ÉCLIPSES est actuellement en cours d'impression. Il sera très prochainement disponible sur ce site (en version imprimée et aussi en PDF) ainsi que dans votre librairie préférée.
Lire la suite02.12.22
Éclipses n°71 : Invasion John CARPENTER
John CARPENTER a eu un jour pour son propre compte une formule qui raconte beaucoup, tant de son esprit que du statut particulier dont il a écopé : « En France, je suis un auteur. En Allemagne, je suis un cinéaste. En Grande-Bretagne, je suis un...
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19.04.12
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Film : Le Locataire
Elle et l’huis clos (3/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'article17.04.12
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Film : Rosemary's Baby
Elle et l’huis clos (2/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'article16.04.12
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Film : Répulsion
Elle et l’huis clos (1/3)
Réalisateur : Roman Polanski
Auteur : Youri Deschamps
Lire l'articleVotre choix : Arnaud DESPLECHIN
Numéro : 52
Titre : Arnaud DESPLECHIN
Sous titre : L'intimité romanesque
Coordination : Youri Deschamps
Parution : Juin 2013
Prix : 15 €
Description :
Il apparaît sans nul doute que la « génération 90 » a vu naître un véritable fils prodigue : Arnaud Desplechin, qui, dès son premier long métrage (La Sentinelle, 1992), devient la figure de proue d’un cinéma d’auteur hexagonal alors foisonnant. Le cinéaste s’octroie ensuite les faveurs d’un public beaucoup plus conséquent avec Comment je me suis disputé… « Ma vie sexuelle » (1996), tout à la fois intimiste et porté par un sens du romanesque en perpétuelle expansion – formule qui deviendra la marque de fabrique du cinéaste. Dans son film suivant, Esther Kahn (2000), un film « d’époque », l’auteur reste toutefois fidèle à son sujet de prédilection : la naissance à soi et aux autres, qui se réalisent ici par l’intermédiaire de la pratique théâtrale.
Après une parenthèse expérimentale plus aride (Léo, en jouant « Dans la compagnie des hommes » – 2003) mais tout aussi passionnante, le cinéaste revient en très grande forme avec Rois et Reine (2004), qui suit les parcours parallèles de deux anciens amants. Peuplé de fantômes et couvert de plaies laissées béantes, Rois et Reine conjugue la souffrance et la fantaisie avec un singulier sens du rythme et du contraste, qui emporte immédiatement l’adhésion.
Avant de signer Un conte de noël (2008), qui constitue à la fois la synthèse et le sommet actuel de son œuvre, Desplechin tourne un documentaire sur sa famille, L’Aimée (2007), dans lequel il filme son père notamment, qui vient de vendre la grande maison familiale de Roubaix.
Cette première monographie consacrée à l’œuvre d’Arnaud Desplechin recueille des analyses traitant de chacun de ses films, mais également des contributions plus transversales, consacrées aux thèmes et motifs récurrents, ou bien centrées sur des questions de mise en scène propres à l’auteur.
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